Ces trains servaient à l'époque de la colonisation à amener les richesses des terres intérieures (notamment l'argent de Potosí) jusqu'aux ports du Pacifique dans le but de ramener ces richesses sur le Vieux Continent.
Digne d'un dessin animé
textura
Petite séance d'escalade
La salar d'Uyuni, dans toute sa splendeur et son immensité
Cet effet miroir est du à la fine couche d'eau sur cette étendue de sel qui reflète le ciel, les nuages, les montagnes...
Deux de nos compagnons de voyage : Rakel et Gereon
Le reste de notre équipe européenne, après l'allemand et l'espagnole, nos deux italiens Valentina et Marco
Valentina !
Marco !
Hôtel de sel, construit entièrement en brique de sel. Le ciment? Du sel. Pourquoi?
Cette fine pélicule d'eau est chaude, d'oú le grand plaisir d'y patauger! (Nous avons froid depuis des semaines en Bolivie)
Nelson, notre chauffeur
Une des innombrables séances photos (en même temps dans un lieu si extraordinaire on peut pas passer à coté !)
Immensité
Allez on part pour le bout du monde?
Perfection de lignes...
Premier coucher de soleil
à notre arrivée au premier point de raliment, J1 (Sans le soleil, déjà derrière les montagnes)
Vallée des roches et son lot de sculptures éoliennes
Mise en abyme de llamas sur fond de roches
Tout le monde se perche pour admirer le paysage
Le condor de la vallée, sculpté par les vents
L'immensité à perte de vue
Ceci est bien un rocher, recouvert par une sorte de mousse aussi dure que le rocher lui-même
L'élipse parfaite de borax et d'eau
Wilsonnnnn
Une des vigognes du sud Lipez, un des animal le plus libre du monde....
La perfection à l'état pur !
Et voilà, c'est l'heure du poulet riz !
"Arbol de Piedra", dans le désert du Siloli, déclaré monument naturel
N'est-il pas magnifique ce rapace sculpté dans la roche par la force du vent et du sable?
Lagune où viennent se reproduire les flamands rose de la zone car l'eau y est naturellement chaude ...
Notre squatt du deuxième jour (ps : on a pas dormi dans la voiture, mais dans un dortoir)
Atardecer sur le désert...
Le ciel à 4300m d'altitude, du jamais vu ! (et ça c'est juste avec l'appareil photo)
Les Geysers de l'altiplano bolivien, il faut bien mastiquer sa boule de coca, l'altitude se fait sentir avec ses 5000 mètres
ça sent le souffre!
Quand la terre bouillonne...
pouahhhhhh
A chaque fois que nous avancions, les paysages changeaient, nous obligeant à ouvrir nos yeux toujours plus grands, ouff
oups un duende !
Un peintre deviendrait fou !
Pas assez de couleurs dans sa palette...
Un grand merci aux volcans de nous offrir des paysages si resplendissants !